Les années 1960-1963 représentent un moment particulier pendant lequel Jorj Morin abandonne ou, du moins met en retrait, la forme linéaire pour restructurer le tableau par un jeu complexe de taches, rejoignant temporairement Le Moal ou Bazaine.
« Je me suis trouvé à un certain moment vers 1960 très proche de Jean Bazaine et de toute son école. Je ne crois pas que j’ai été influencé pourtant directement par lui, quoique je le connaisse bien. » écrit J. Morin en 1967 à la directrice de la galerie Nouvelle gravure à Paris.
61-01 LE CIEL RIT, TRYPTIQUE DE PÂQUES (I), 1961, huile, 73x100cm , signé Jorj Morin en bas à droite.