En fin d’année 1985, Gaston Diehl préface le catalogue raisonné de l’Œuvre gravé publié aux éditions Galarté et écrit alors :
« Dans sa peinture, mieux encore dans le domaine graphique, il a réussi à entraîner la conviction par cette force de l’évidence et du Signe à peine formulé qu’il a su graduellement conduire et imposer. Austérité, dépouillement, mais non pas pauvreté, régissent son choix parmi les éléments ou les procédés auxquels il recourt, en limitant au maximum leur nombre ».
Ce texte semble préfigurer l’évolution de la peinture de Jorj Morin au cours de ses dernières années.
87-01 L’OISEAU BLANC (II), 1987, peinture acrylique, 81x116cm, signé Jorj Morin en bas à droite.